Castellana 79

Castellana 79
Madrid, Espagne

Surface / 20,753m2
Client / Pontegadea Inmobiliaria, S.L

Fortement imprégné de caractère urbain, ce projet constitue une excellente opportunité de rencontrer la ville à deux niveaux différents: à un niveau urbain, depuis la voie de communication la plus importante de Madrid, et à un niveau plus domestique, depuis une zone foncièrement piétonne.

Une façade neutre, abstraite, lisse, mais en même temps vive, avec du volume. La lumière et les ombres changent au fil des heures de la journée et des saisons, et viennent nuancer la peau douce du verre grâce aux différentes finitions proposées. Opacité et transparence. Luminosité et obcurité. Brillant et mat. Des reflets et des ombres éternellement changeants.

Des vitres lisses comme des jeux d’échecs, blanches et obscures. Des vitres en volume, dont les ombres et les reflets dansent sur un damier en trois dimensions : l’acier et le verre, séparés par des miroirs, et qui accentuent la sensation d’apesanteur de cette seconde peau.

Des pièces en acier qui montrent ou dissimulent, selon la perspective, les cases obscures du damier de l’enveloppe intérieure. Une façade « en vie » qui, selon l’endroit et le moment où l’on l’observe, vibre à la lumière du soleil ou s’éteint avec celle-ci.

Castellana 79
Madrid, Espagne

Surface / 20,753m2
Client / Pontegadea Inmobiliaria, S.L

Fortement imprégné de caractère urbain, ce projet constitue une excellente opportunité de rencontrer la ville à deux niveaux différents: à un niveau urbain, depuis la voie de communication la plus importante de Madrid, et à un niveau plus domestique, depuis une zone foncièrement piétonne.

Une façade neutre, abstraite, lisse, mais en même temps vive, avec du volume. La lumière et les ombres changent au fil des heures de la journée et des saisons, et viennent nuancer la peau douce du verre grâce aux différentes finitions proposées. Opacité et transparence. Luminosité et obcurité. Brillant et mat. Des reflets et des ombres éternellement changeants.

Des vitres lisses comme des jeux d’échecs, blanches et obscures. Des vitres en volume, dont les ombres et les reflets dansent sur un damier en trois dimensions : l’acier et le verre, séparés par des miroirs, et qui accentuent la sensation d’apesanteur de cette seconde peau.

Des pièces en acier qui montrent ou dissimulent, selon la perspective, les cases obscures du damier de l’enveloppe intérieure. Une façade « en vie » qui, selon l’endroit et le moment où l’on l’observe, vibre à la lumière du soleil ou s’éteint avec celle-ci.